PAUVRES PIÉTONS



Rue Challemel-Lacour


La mère Debazeille avait entassé pêle-mêle sur les trottoirs tout ce qui pouvait empêcher les automobilistes de rouler à fond : les piétons, les vélos, les chiens etc...

Aucune séparation n'est marquée : il ne s'agit en aucun cas de faciliter la circulation à ces peuplades sans intérêt mais seulement de débarrasser les automobilistes de la présences de ces gêneurs.

Les nouveaux élus se sont bien gardés d'apporter la moindre modification : l'important est que les automobilistes puissent rouler à 100 km/h en ville.

Non seulement les piétons doivent partager leur espace avec les cyclistes mais bientôt les bateaux aussi pourront passer ici.


Aucun passage piéton à proximité de l'arrêt "Parc Tony garnier" des bus 12E, 32, 176 et 179.
Au contraire, un massif et des blocs de pierre pour empêcher les piétons de traverser.
Il ne faudrait surtout pas couper les automobilistes dans leur élan au bas de la descente.
Et après, on fait semblant de s'étonner qu'il n'y ait pas plus d'usagers des transports en commun.

VILLEURBANNE, angle Jean-Claude VIVANT/MILLON

Rue Jean-Claude Vivant, le cheminement des piétons est bloqué en permanence par des voitures garées dans le prolongement du trottoir.

Non seulement il est impossible à une mère de famille de passer avec un landau ou une poussette, mais également à toute personne âgée tirant un panier à provision à roulette.

La rue Millon est privée, mais pas le trottoir de la rue J.C. Vivant.
Il serait utile et facile de protéger le cheminement des piétons par un potelet en limite de la zone publique, donc dans l'alignement des bâtiments.


au-dessus, vue nord->sud, en-dessous vue sud->nord


voir un autre piège à piétons (Avenue Pompidou)
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